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  • La Sagne via Les Coulettes

    Compte rendu de la randonnée du 26 avril 2015: "La Sagne via les Coulettes".

    C’est avec une météo incertaine que nous décidons : Christiane, Nicole, Maryvonne, Marie-jo, Roselyne, Jacques, Georges et moi de tenter « l’aventure ».

    Après avoir passé La Clue de St. Auban nous arrivons à notre point de départ : Le Prignolet .

    Première étape : le magnifique domaine des Coulettes que nous atteignons par un chemin qui passe sur le ruisseau « La Sagne » où le spectacle de la copulation des crapauds et autres batraciens fût observée avec attention !!!

    Vingt minutes d’une ballade bucolique le long d’un petit « béal » nous suffira pour atteindre la cascade du Véraillon . Une pause « grignotage » et technique à la chapelle St. Pierre nous permit de passer sans difficulté le verrou qui surplombe le vallon du Vérraillon.

    C’est par un sentier en « balcon », qui permet d’admirer de magnifiques formations rocheuses, que nous rejoindrons le GR4 au niveau des ruines de « la ferme du Verraillon ».
    La descente vers le village « La Sagne » se fait en traversant une splendide forêt de hêtres propice au silence et à la méditation !!

    C’est par un « raidillon » que nous arrivons au village où la pause pique-nique est la bienvenue et bien méritée.

    Le ciel menace …. Nous décidons de prendre le chemin du retour. Courte visite du village , de ses habitants et de son tracteur …. d’un autre temps !!

    Belle descente dans les « marnes », passage à gué et chemin en « dents de scie » nous conduirons aux Coulettes ……. La boucle est bouclée. Quelques centaines de mètres plus loin nous retrouvons nos véhicules ( sur leurs roues !!!!! ) non sans avoir au passage du ruisseau, admiré l’endurance des crapauds !!

    Le ciel a été clément …..mais nous ne sommes pas au bout de nos émotions ( surtout Christiane !!)

    La traditionnelle « mousse » fût dégustée en effet , et par le plus grand des hasard, à la terrasse d’un bistrot tenu temporairement par le père d’un ancien élève de Christiane , mais qui était absent !!!!

    Dit comme ça cela semble étrange …..mais ceux qui étaient présents m’auront compris !!

    Merci à tous pour cette belle journée Philippe

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  • Les Gorges de l'Estéron et Village Les Ferres

    • Le 05/04/2015

    Vendredi 03 avril 205, au programme « Les gorges de l’Estéron et le village de Les Ferres » au départ de Bouyon.

     Il est 07h15, oui c’est tôt mais ne dit-on pas «  que le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt » !!

    Au programme de la journée, randonnée dans les gorges de l’Estéron, visite du village de Les Ferres le tout au départ de Bouyon.

    Au départ de Saint-Vallier-De-Thiey nous sommes sept : Christiane, Nicole, Isabelle, Danièle, Marco, Michel (un néo Vallérois venu s’essayer avec notre groupe, bienvenue à lui !!) et moi. Nous retrouverons à Bouyon Jacques.

    Il est 07h20 lorsque nous nous mettons en route. Nous prenons la direction de Gréolières puis Coursegoules, Bezaudun les Alpes pour arriver à destination tout pile une heure de route.

    Bouyon se trouve à une altitude moyenne de 650 m. Son territoire est composé de reliefs de montagne appartenant aux contreforts du Cheiron à l'ouest (point culminant 1 224 m à la crête de Perrière), s'abaissant au nord vers la vallée de l'Estéron (en limite de la commune) à 173 m et au centre avec le vallon de Bouyon, pour remonter au sud avec l'adrech de Berdine (946 m).

    Le village a été détruit en partie par le tremblement de terre du 23 février 1887.

    Fin mai ou début juin, la « Procession aux Limaces » se déroule dans les rues et places de Bouyon. Celles-ci sont éclairées par des milliers de bougies et des coquilles d'escargots (limaces) remplies d'huile (calen) avec une mèche. Des oratoires sont érigés où la procession fait halte pour prier. Cette procession remonte à très loin dans le temps, à l'origine elle était faite pour prier afin que la récolte des olives soit bonne.

    Nous sommes sur le parking au centre du village, chacun s’affaire à son équipement. Allez c’est parti, cap à l’Ouest. Un circuit qui commence par des escaliers et qui se poursuit  par une montée assez soutenue. Nous passons le lieu dit Le Seuillet et le sentier se poursuit à dans une belle forêt de chênes pour laisser place aux feuillus et Buis.

    Nous ferons une halte au premier sommet. La vue est superbe. En toile de fond les sommets du Mercantour encore enneigés. Légèrement sur notre gauche le Mont Vial, en premier plan le Mont Lion,  les villages de Tourette-le-château, Gilette.

    Nous basculons dans un vallon et au niveau de la patte d’oie (Balise 100) nous prenons le sentier de droite. Celui de gauche mène au sommet e l’Estellier (1278m). Surement une prochaine destination.

    Notre sentier reprend un dénivelé positif pour arriver sur la deuxième crête. La vue est toujours aussi belle. Nous marquons une petite pause mais un petit vent frais nous pousse à reprendre notre marche pour ne pas se refroidir. Le sentier ne pique pas directement à gauche comme indiquer sur la carte mais va descendre  le long de la crête sur une bonne distance puis obliquer à gauche. Nous traversons une forêt de pins, malheureusement infestée par des chenilles processionnaires qui petit à petit arrivera à, malheureusement, détruire cette belle forêt. Le sentier est illuminé par des tapis d’anémones hépatiques, bleues, blanches ou roses. On trouvera également de belles quelque Euphorbes ou encore de belles Iris.

    En sortant de la forêt on découvre adossé à la montagne du Mont st Michel, une superbe vue sur le village « Les Ferres ». Petit village construit en forme d’arc avec des façades pastel légèrement nuancées ce qui renvois une image magnifique de ce petit village de l’arrière pays.

    Les habitants sont appelés les Ferrois. Le village comptait 302 habitants au recensement  de 1856 et 4000 oliviers. Aujourd’hui on compte 100 électeurs !!

    Cité au XIIe siècle "Castrum de Ferris". L'origine du nom est peut-être à rechercher dans le latin "ferrum" qui désigne un lieu sauvage isolé.

    · En 1325, le prieuré des Ferres est joint à celui de la Rocca, Roquestéron.

    · La seigneurie passe de la Provence au comté de Nice en 1388.

    La seigneurie revient à la France avec le traité de Turin de 1760 qui fait de l’Estéron la frontière entre la France et le comté de Nice (cf.Wilkipédia).

     Maintenant c’est une belle descente qui nous attend. Par endroit le sentier est assez abrupt et glissant. On comptera deux petites glissades sans grande gravité.

    Nous sommes dans les ruelles du village. De belles ruelles toutes refaites, à la charge de la commune nous précisera un habitant. Nous irons jusqu’au bout du village et au pied de la falaise visiter la chapelle Ste Julie. Enfin sauf Isabelle qui préférera nous attendre sur un banc au soleil à discuter avec un villageois.

    Chapelle Sainte Julie Les Ferres, XVIIe ou XVIIIe. Petite chapelle-oratoire Sainte Julienne (en 1760) communément appelée chapelle Sainte Julie, patronne du village. C'est un édifice avec une voûte en berceau plein cintre et façade ouverte.

    Sainte Julienne de Nicomédie est une vierge et martyre du IVe, Sainte Julie est une sainte, patronne de la Corse, de la même époque.

    Après notre petite visite, les ventres crient un peu famine mais nous poursuivrons encore un peu notre marche pour pique-niquer plus bas avec vue sur les rochers du Carbonnier, la belle vallée de l’Estéron.

    C’est bien restauré que nous reprendrons notre marche. Sur notre gauche de superbes vues sur la clue de la cerise et les gorges de l’Estéron. Nous arrivons  au pied du bel oratoire de Notre Dame du Brec. Un édifice tout en pierre d’une hauteur de 3m, sentinelle muette de ce chemin historique franchissant les gorges de l’Estéron.

    Quelques photos et nous poursuivons notre route. Une petite descente sur une belle voie romaine avec à nos pieds tout au fond les eaux turquoise de l’Estéron.

    Nous allons quitter les gorges pour remonter vers notre point de départ. Balise 103, cap au sud Ouest. Le sentier est en sous-bois très agréable mais très pentu par endroit et il nous faudra une bonne heure pour retrouver une piste et quelques vingt minutes supplémentaires pour retrouver le village de Bouyon.

    Nous traversons le village pour retrouver nos voitures. Echange de chaussures et vite une petite halte « Chez Florian » pour notre traditionnelle pause « mousse ».

    Bravo à tous, malgré un parcours assez pentu, vous avez avalé cette randonnée comme qui rigole. Bravo !!

    Je vous dis à très bientôt sur les sentiers.

     Georges. 

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  • Le Mont Férion

    • Le 08/03/2015

    Randonnée du vendredi 27 février 2015, au programme « Le Mont Férion ».

    Ce matin le rendez-vous est à 07h30, c’est tôt mais nous devons nous rendre dans l’arrière pays Niçois et la circulation n’est pas toujours facile. Malgré l’heure matinale nous serons sept au départ de St Vallier : Colette et Bruno, Dominique et Serge, Marie-Jo, Marc et moi-même.

    C’est parti pour une nouvelle aventure, direction Le Pré du Lac où nous récupérons Guilaine et Jean-Jacques.

    Nous sommes en période de vacance scolaire du coup la traversée se fera plus rapidement que prévue.  Il est 09h30, Parking des Mulières (667m), lorsque nous nous mettons en marche. Aujourd’hui nous avons encore un super meneur puisque c’est Marc qui va se faire la main sur ce parcours qui se veut sportif !!

    Première intersection, nous prenons la piste Nord, celle qui passe par le Col du Dragon. Le sentier est très agréable, très bien entretenu et le balisage est tout frais. La pente est régulière et chacun à son rythme nous progressons. Première pause au Colle de Millian. Encore une belle montée pour atteindre enfin le Col du Dragon (1111m). Nous avons déjà avalé une bonne partie du dénivelé mais le plus dur est pour maintenant. Le sentier est recouvert en parti de neige. Les raquettes ne sont pas nécessaires mais cela ne va pas nous faciliter la montée d’autant plus qu’elle est assez raide. Allez courage nous allons y arriver. Une partie du groupe avance à bon rythme et une deuxième à un rythme un peu plus calme. Peu importe le principal c’est d’arriver au sommet.

    A mesure qu’on monte les paysages sont de plus en plus magnifiques. Le sentier est un peu moins enneigé car en sous-bois. Il nous faudra cinquante minutes pour atteindre le Col du Férion. Là par endroit nous trouvons au moins 50cm de neige !! Mais c’est superbe !! Nous rejoignons le premier groupe et tous ensemble nous profitons de la vue. Superbe !!

    Encore une petite montée, dans la neige et nous voilà au pied de la tour de guet du Férion. Au faîte du pays niçois, sur la ligne partage des eaux entre le Var à l'Ouest et les Paillons à l'Est, le mont Férion (1 412 m) domine les villages de Levens avec son vaste plateau verdoyant et de Coaraze, lové sur une petite éminence. Illustration du combat mené par les services forestiers contre le climat méditerranéen, sa sécheresse et son implacable ensoleillement, le site du Férion a payé un lourd tribut aux incendies qui ont décimé ses versants arides, notamment en 1986 : seuls les ubacs et le plateau sommital arborent encore de hautes futaies où voisinent pins sylvestres, pins Noirs d'Autriche et cèdres. La cédraie sommitale avec ses arbres séculaires qui entourent la chapelle Saint-Michel apporte une note exotique dans un paysage méridional où alternent les pâturages à ovins, les garrigues buissonneuses et les forêts de pins.

    La chapelle Saint-Michel-des-Cèdres (1 261 m), construite en 1938, c’est là que nous poserons les sacs pour notre pause pique-nique. Tout le monde est bien content de faire la pause car la montée a été tout de même assez éprouvante.

    Une table de pique-nique à disposition alors nous nous installons. A la surprise générale, Marc nous sort une bouteille de champagne ! Hé oui il pense à tout cet animateur stagiaire, il a de l’avenir !! Aujourd’hui c’est l’anniversaire de Jean-Jacques, alors c’est champagne !! Joyeux anniversaire JJ !!

    Après une bonne pause, nous reprenons notre marche car il ne fait pas très chaud. Il nous suffit maintenant de nous laisser dérouler sur la crête du Férion pour atteindre la Baisse de Bendejun ou Col de Rosa. Petite pause puis nous basculons sur le versant Nord pour rejoindre le Col du Travail. Beau Colpour des retraités !! Photos pour immortaliser notre passage par ce Col puis nous poursuivons notre descente.

    Passage d’un gué, petite remontée et nous retrouvons le parking avec nos voitures.

    Belle randonnée, bel effort des joyeux randonneurs vallérois et pour finir, guilaine nous sort un petit gateau maison et JJ une bouteille de pétillant du Jura pour arroser une nouvelle fois ses 20 ans !!

    Merci Guilaine pour ce petit quatre heure encore un joyeux anniversaire à notre ami Jean-Jacques et bravo à toutes et tous pour votre prestation du jour.

    A très bientôt sur les sentiers.

    Georges

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  • Pic et ravin du perthus

    • Le 07/03/2015

    Randonnée du Dimanche 22 février 2015, au programme : « Pic et ravin du Perthus ».

    Il est 07h45, le ciel est encore chargé mais nous faisons confiance aux prévisions de météo-France qui nous annoncent un risque de pluies éparses le matin et un après-midi ensoleillé.

    Nous destination du jour, le massif de l’Estérel. Voilà un moment que nous ne sommes pas venus dans le secteur. Nous suivons la route de la corniche qui va nous mener jusqu’à Agay et delà nous entrons dans le massif par une route forestière qui devait nous conduire au Col du Mistral point de départ de la randonnée mais nous aurons la surprise de trouver la barrière close alors c’est du Col de  Belle Barbe que nous partirons.

    Tout le monde est équipé. Sont présents : Roselyne et Philippe, Guilaine et Jean-Jacques, Colette et Bruno, Maryvonne et Jacques, Marc, Dominique et Serge et moi-même.

    Pour mener la troupe nous avons nos deux stagiaires animateurs !! Nous sommes donc rassurés tout devrait bien se passer.

    Pour commencer il faut déjà trouver le bon chemin car nos plans de marche étaient calculés à partir du Col du Mistral un peu plus haut. Après réflexion nous décidons de suivre la piste forestière pour atteindre le point de départ initial. Allez c’est parti.

    Après vingt minutes de marche, en montée, nous voilà sur la ligne de départ. Direction Nord-est, toujours sur une piste que nous allons quitter quelques centaines de mètres plus loin pour prendre sur la gauche un petit sentier très mal tracé où la végétation a largement repris ses droits. Un sentier comme nous avons l’habitude de trouver dans l’Estérel, raviné par les pluies, légèrement glissant.

    Première ascension de la journée, atteindre le Pic du Perthus oriental quelques 160 m plus haut. La montée n’est pas très difficile mais vu l’état du sentier il nous faudra quarante minutes pour atteindre le sommet. La vue est splendide ! La rade de Fréjus jusqu’au Cap Camara, le Cap Roux, les Suvières et le Marsaou, le Pic de l’Ours et bien sûr le Mont Vinaigre. Petite pause pour récupérer et profiter de cette carte postale.

    Il nous faut rejoindre le Col du Perthus. La première partie de la descente est assez escarpée alors c’est avec grand prudence que nous abordons la descente. Sentier en sous-bois très agréable et nous y sommes. Petite pause et c’est sur le GR51 que nous nous dirigeons vers la Baisse de la Petite Vache. Nous quittons le GR pour une piste, mais quelle piste prendre ? Boussoles à la main nos stagiaires trouvent rapidement la bonne direction et sans crainte nous suivons nos deux guides. Nous arrivons au fond du vallon et là nous devons traverser un gué, mais  le Gabre deGourin coule encore bien alors avant de se mouiller les pieds comme le site est agréable nous décidons de poser les sacs et de faire notre pause pique-nique ici.

    Tout en dégustant nos casse-croûtes, chacun réfléchi discrètement comment traverser ce gué sans se mouiller les pieds.

    Après une petite heure de pause, l’heure est venue de franchir le gué. Certain enlèvent les chaussures, d’autres se mouillent les pieds les plus malins enfilent tout simplement un sac plastique sur chaque chaussure et traversent tranquillement les pieds au sec !!! Ha les petits malins !!!

    Pour la digestion petite montée tranquille pour ensuite longer une belle petite rivière le Maraval.

    Nous passons le Pont du Pigeonnier dominé par de beaux rochers dont un en forme de Demoiselle coiffée aussi appelée, cheminée de féepyramide ou hoodoo, est une sorte de grande colonne naturelle faite de roches friables, le plus souvent sédimentaires, et dont le sommet est constitué d'une roche plus résistante aux effets de l'érosion. Ces formes étranges (parfois phalliques), présentes un peu partout sur la planète, sont à l'origine de nombreuses croyances ou légendes.

     Toujours sur une belle piste nous grimpons maintenant en direction de la Baisse des Charretiers où nous faisons une petite pause. Juste à coté on trouve la maison forestière des Charretiers.

    Nous poursuivons pour atteindre la Baisse Andoulette puis le Pic du Perthus Occidental. La vue est aussi belle que celle que nous avons eu ce matin avec en plus un ciel magnifique et une vue bien dégagée. Là les ruines d’un oppidum.  De magnifiques dalles sur lesquelles, à la faveur de l’érosion, se sont creusées de petites cuvettes. Ces dépressions qui se remplissent d’eau pendant la saison des pluies, sont appelées « mares cupulaires ». Les mares temporaires sont des zones humides à double visage, tantôt inondées, tantôt asséchées. Grâce à cette alternance, elles sont peuplées d’une très grande diversité de pantes et d’animaux qui se sont habitués à ces conditions extrêmes. Notez bien que ces mares temporaires Méditerranéennes constituent un patrimoine exceptionnel à l’échelle européenne.

    Après avoir bien profité de ce magnifique panorama, il nous faut maintenant descendre dans le ravin du Perthus. Le sentier est très praticable et c’est sans encombre que nous arrivons au fond du Ravin du Perthus. Nous traversons le pont du Perthus pour retrouver le Col du Mistral. Reste plus qu’à redescendre tranquillement vers le Col de Belle Barbe où nous attendent nos voitures.

    Très belle randonnée !  16 kms 500m de dénivelé positif et ils sont frais comme des gardons !! Petite mousse en terrasse à Agay et nous reprenons la route du retour.

    Bravo à tous, merci à nos deux stagiaires qui nous ont ramené à bon port et à très bientôt sur les sentiers.

    Georges

     

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  • Lac de Lavellan via le Barrage de Malpasset

    • Le 07/03/2015

    Vendredi 06 Mars 2015, au programme : « Le Lac de Lavellan  via Le Barrage de Malpasset»

    Au programme une superbe journée !! Il est 07h55, il fait encore bien frais ce matin, 0°c, mais cela n’arrêtera les courageux randonneurs Vallérois et c’est en nombre qu’ils se présentent au premier point de rendez-vous. Sont présents : Geneviève, Colette et Bruno, Dominique et Serge, Marco, Jocelyne et Michel qui font leur grand retour à la randonnée, Marie-Jo et moi même. Allez c’est parti, direction Cabris où nous récupérons Isabelle et Erick, on poursuit vers le Val-Tignet. Là on trouve, Bernadette, Danièle, Jean-Claude (ça première randonnée avec notre groupe), Guilaine et Jean-Jacques. Vous avez bien compté, ça fait dix-sept personnes !! Beau groupe !!

    09h00, nous sommes au point de départ de la randonnée, le Col de Testanier au bord de la N7 et au pied du Mt Vinaigre (point culminant du massif de l’Estérel).

    Notre dernier passage sur ce parcours le 09 décembre 2011. Hé oui le temps passe et nous étions que 5 !!

    Nous voilà partis, mais avant tout une petite photo pour le book !
    Le chemin est très agréable, une belle piste DFCI qui va nous conduire jusqu’au barrage.

    Le secteur que nous traversons est en plein reboisement. Chêne-liège, pin maritime, pin parasol et eucalyptus sans oublier les broussailles composées de lavande, genévrier, romarin, thym, arbousier, ciste et autres bruyères et fougères.

    Le soleil est bien présent mais nous marchons à l’ubac alors il n’est pas encore facile de tomber les blousons. Petite pause au soleil après une heure de marche, notre première destination est en vue.

    Nous voilà dans le vallon de l’appié d’amic. De gros blocs de béton ou de roche sont éparpillés autour de nous. Qu’es ce ?? Les premiers vestiges du Barrage de Malpasset. Avant de remonter jusqu’au barrage petite présentation de l’ouvrage.

    La construction d'un barrage dans la région de Fréjus est envisagée juste après la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre des grands projets d'équipement du pays. Son principal objet est de constituer un réservoir d'eau permettant d'irriguer les cultures dans une région où les pluies sont très irrégulières.
    L'inauguration, puis la mise en eau partielle du barrage ont eu lieu en 1954. En 1959, la Côte d'Azur reçoit des pluies diluviennes, le niveau de l'eau monte très rapidement - trop rapidement pour permettre un contrôle convenable des réactions du barrage.
    Le 02 décembre 1959, le barrage est donc rempli à ras bord lorsqu'il cède, à 21 h 13 exactement.

    Une gigantesque vague de 40 m de haut déferle dans l'étroite vallée à la vitesse de 70 km/h. Balayant tout sur son passage, elle débouche sur Fréjus 20 minutes plus tard, avant de se jeter dans la mer.

    A ce jour, ce drame reste la plus importante catastrophe civile du XXème siècle qu’ai connu la France.

    Après plusieurs années d'enquête, expertises et contre expertises, deux rapports sont remis aux autorités judiciaires, qui cherchent à déterminer les responsabilités du drame. Ils écartent l'hypothèse d'un ébranlement dû à un séisme - phénomène fréquent dans la région - ou à des explosifs utilisés pour la construction de l'autoroute. L'emplacement du barrage, en revanche, est mis en cause.

    Les barrages-voûtes sont réputés pour leur exceptionnelle solidité, la poussée de l'eau ne faisant que renforcer leur résistance. Malgré la très faible épaisseur du barrage de Malpasset : 6,78 m à la base et 1,50 m à la crête, ce qui en fait le barrage le plus mince d'Europe, la voûte elle-même est entièrement hors de cause. Mais ce type d'ouvrage doit s'appuyer solidement sur le rocher, ce qui n'était apparemment pas le cas à Malpasset. Certes, la roche, quoique de qualité médiocre, était suffisamment solide, en théorie, pour résister à la poussée. Mais une série de failles sous le côté gauche du barrage, "ni décelées, ni soupçonnées"  pendant les travaux de prospection, selon le rapport des experts, faisait qu'à cet endroit la voûte ne reposait pas sur une roche homogène. Le 2 décembre 1959, le rocher situé sous la rive gauche a littéralement "sauté comme un bouchon", et le barrage s'est ouvert comme une porte...

    "De tous les ouvrages construits de main d'homme, les barrages sont les plus meurtriers".

    Ces mots sont ceux du constructeur du barrage de Malpasset, l'ingénieur André Coyne alors président de l'Association internationale des grands barrages et spécialiste incontesté de la construction des barrages-voûtes, qui décéda 6 mois après la catastrophe.

    Après une visite de ce lieu de mémoire, nous faisons chemin inverse et nous dirigeons vers un des vestiges du l’aqueduc romain.

    Nous voilà aux pieds de l’aqueduc. Il est midi alors nous posons les sacs et c’est la pause pique-nique. Chacun trouve sa petite place tantôt à l’ombre tantôt au soleil par petits groupes.

    Après une heure de pause, il nous faut reprendre notre chemin. Avant de quitter ce lieu, petite présentation de l’aqueduc.

    De nombreuses données concernant la construction de l'aqueduc restent inconnues à ce jour. La date de construction a été estimée au milieu du Ier siècle.

    D'après les concrétions internes (dépôts carbonatés : environ 1 mm par an, soit 10 cm par siècle) la durée d'utilisation globale a pu être définie à 305 ans, les 5 à 7 premiers kilomètres étant toujours utilisés.

    L'aqueduc mesure 41 567 m. Il a la particularité d'être un aqueduc « bicéphale »: il part de deux sources, la 'Foux' de Montauroux et la Siagnole à Mons.
     Son départ est situé à 516 m pour arriver à Fréjus à une altitude de 34 m suivant une pente moyenne de 1,1%. L'eau met environ 17 heures à parcourir la totalité de l'aqueduc (vitesse moyenne de 2,4 km/h) avec un débit moyen estimé à 34 litres par seconde. Le trajet est en majeure partie souterrain, sauf à l'approche de la ville dont il aborde le point le plus haut (34 m). Il y a été partiellement réutilisé pour y installer la conduite d'alimentation en eau de Fréjus dite de la 2e convention (1794).

    Nous reprenons le chemin de ce matin puis cap à l’Est. Nous quittons le GR51 mais toujours sur une piste. Après 1Km500 nous quittons la piste pour un petit sentier très agréable par la beauté du site mais assez escarpé. Un sentier qui va nous mener jusqu’au Lac de Lavellan. Il nous faudra une heure pour arriver au lac. Cet endroit est superbe. Un beau coin pour pique-niquer en famille aux beaux jours.

    Le lac de Lavellan c’est 6.2 hectares de superficie. Il n’est pas très rempli mais toujours aussi sale. En effet comme il y à trois ans, l’eau est toujours aussi boueuse. Après une courte pause, nous faisons le tour du lac soit 2.5kms avant de quitter les berges et retrouver nos voitures quelques 130m de dénivelé plus haut. Un sentier bien agréable même si bien abîmé par les pluies. La dernière montée de la journée mais ils ont encore du « gaz » ces randonneurs et Danièle en tête de la course accélère l’allure, Marie-jo vient de se faire doubler par Isabelle et Georges passe à l’intérieur de la courbe pour se retrouver en tête Danièle s’accroche mais trop tard la ligne d’arriver est franchie !! Et non elle n’est pas encore là, il nous faudra monter encore un peu avant de retrouver nos voitures.

    Bravo, nous venons de marcher 16kms pas trop de dénivelé pour aujourd’hui, seulement 300m mais le groupe est en pleine forme, alors direction les Adrets de l’Estérel pour clôturer notre sortie en beauté avec une petite « mousse » à la main.

    Merci aux participants, bienvenue à Jean-Claude dans le groupe des randonneurs, bravo aux « ptits Bois » pour la reprise et à très bientôt sur les sentiers.

    Georges

     

     

     

     

     

     

     

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  • Randonnée Mimosa - 2015

    Sortie randonnée du vendredi 13 février 2015, au programme « Randonnée Mimosa ».

    Quelques petites éclaircies !! Il nous en fallait pas plus pour enfin pouvoir mettre le bout de nos bâtons à l’air.

    08H15, nous sommes huit au rendez-vous. Marc et Arlette, Marie-jo V, Marie-jo L, Bruno, Dominique et serge et moi-même. C’est parti, direction St Jacques de Grasse où nous récupérons Guilaine et Jean-Jacques.

    Nous sommes sur un petit parking au bout du chemin de Sausseron au bord de la Siagne commune de Pégomas. Chaussures aux pieds, sac sur le dos nous sommes prêts.

    Marc sera notre animateur du jour. Armé de sa boussole, de sa carte et de son Plan de Marche il nous met de suite dans la bonne direction.

    Nous sommes sur la piste de Sausseron et nous remontons le Vallon de Cabrol. Vous vouliez du mimosa ? Vous êtes servis ! Tantôt bien ouvert, tantôt encore fermé  ou déjà fané nous y sommes.

    Après une vingtaine de minutes de marche, nous voilà sur une belle crête qui va nous conduire jusqu’au hameau de  Les Sausserons.

    Les paysage sont beaux, dommage qu’une brume assez dense nous empêche de profiter de cette superbe vue.

    Alors que nous faisons une petite pause, on en profite pour parler du mimosa, alors un peu d’histoire :

    Originaire d’Australie, le mimosa a été introduit en Europe au milieu du 19ème siècle lors d’un des voyages du Capitaine Cook. Il a prospéré sur la Côte d’Azur grâce au climat favorable et à un sol silicieux. Planté dès 1880 dans la Croix des Gardes dans les propriétés des grands hôtes hivernaux, comme le Duc de Vallombrosa, le Marquis de Morès ou Lord Brougham, il a contribué très largement au développement de l’industrie cosmétique à Grasse. Il s’est également répandu à l’état sauvage dans toute la région. 
    La Société d’Horticulture et d’Acclimatation contribua largement à sa promotion. Les mimosistes vont se multiplier dans la région, à Mandelieu, Pégomas, Tanneron ou La Roquette. Les marchés se développèrent et des wagons entiers de mimosa quittaient tous les jours la gare de La Napoule pour le nord de la France et pour l’étranger.

    Le mimosa ayant ainsi participé au développement de l’économie locale, il est fêté chaque année par les habitants de Mandelieu-La Napoule. Officiellement célébrée pour la première fois en 1931, la Fête du Mimosa connaît depuis, un vif succès. Elle n’a cessé de prendre de l’envergure passant d’un corso fleuri à une grande fête populaire aujourd’hui largement reconnue.

    Selon la tradition, l’organisation de la fête est confiée aux habitants de la commune, à ses associations et à son Comité d’Animation. Ensemble, dans la bonne humeur, ils fleurissent les chars de mimosa fraîchement cueilli. Un travail méticuleux de tressage des branches autour des sujets réalisés chaque année selon la thématique choisie. La bonne volonté de tous, donne à la fête une ambiance folklorique authentique reconnue par tous ses visiteurs.

    La fête du mimosa à Mandelieu La Napoule s’est très bientôt puisque ça commence le 18 février jusqu’au 25 février 2015.

    Sur notre parcours, on rencontrera également bon nombre de plantations d’Eucalyptus. Plante destinée en partie à la composition de produit pharmaceutique mais également à l’embellissement de bouquets comme feuillage d’ornement.

    On trouve plusieurs espèces d’eucalyptus comme le cinerea, le parvifolia, le popu lus, le guny, le nicoli, le baby blue, le puveranta,le Robusta (qui peut être teint en rouge). Autant de couleurs et de feuilles différentes.

    Les Eucalyptus fond partis de la famille des MYRTACEAE.

    Nous arrivons assez rapidement dans le hameau Les Sausserons. Petite pause boisson et nous poursuivons notre chemin.

    Notre animateur nous organise une traversée de route dans les règles de l’art. La troupe n’est pas très attentive mais bon ça viendra !!

    Nous arrivons à la partie sommitale du parcours, changement de direction, nous empruntons un petit sentier pour retrouver un peu plus bas une belle piste DFCI que nous allons suivre jusqu’au point retenu pour la pause pique-nique.

    Il n’est pas très tard mais nous nous installons tout , de même pour la pause repas. Table basse et pierres autour !! C’est royal !

    Tout le monde est enchanté de ce parcours à travers mimosas et  .

    Après une petite heure de pause, nous décidons à reprendre le sentier d’autant plus qu’un beau nuage menace !! Arriverons-nous aux voitures au sec ??

    Il nous faut descendre sur une belle crête avant de piquer dans le vallon du Ped de l’âne, traverser un premier ruisseau puis arriver dans le vallon de la Figuière re-traversée de ruisseau et là il faut ouvrir l’œil. Juste au début du vallon de Loubonnière on met le cap au 280° un petit sentier bien marqué et très agréable. Petite grimpette jusqu’au sommet de la crête puis on replonge dans le vallon de la sardine. Une belle descente où chacun fera son petit bouquet de cette belle fleur aux mille éclats. Nous retrouvons les premières maisons. Petit virage à gauche, sentier et nous voilà au niveau de la D38. Les gouttes d’eau se font plus importantes. Il nous reste 700m à parcourir !!

    Nous voilà aux voitures et il était grand temps car la pluie redouble de force. Merci à notre animateur nous sommes tous de retour et à peine mouillées !!

    Notre petite pause « mousse » se fera dans une boulangerie !! Hé oui ça change et faute de mousse nous aurons de beaux gâteaux !!!

    Merci à tous et à bientôt sur les sentiers.

     

    Georges

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  • Le Haut Serminier

    Sortie du vendredi 09 janvier 2015, au programme : « Le Haut Serminier ».

    Nous sommes de retour dans le Var et plus précisément  dans le secteur du Lac St Cassien.

    Point de départ de la randonnée, le parking de la réserve biologique de Fondurane, un petit coin de paradis sur le bras Ouest du Lac de Saint Cassien. « Cette réserve biologique couvre 43 hectares. Elle est la propriété d'EDF et est protégée depuis 1988. Elle accueille de nombreuses espèces d’oiseaux (175 recensées), parmi les plus menacées de France : canard colvert, sarcelle d’hiver, héron cendré, chevalier guignette, busard des roseaux et autres oiseaux migrateurs. La cistude d’Europe (tortue aquatique française) et trois espèces de couleuvres (vipérine, à collier, de Montpellier) y ont également trouvé un biotope idéal ».

    Ce matin, c’est quatorze valeureux randonneurs qui sont  au rendez-vous. Christiane, Geneviève, Bernadette, Danièle, Roselyne, Nicole, Rodolphe, Marie-Jo, Dominique, Serge, Bruno, Isabelle, Marco qui fait son retour sur les sentiers de randonnée et moi-même.

    Il est 09h15, le thermomètre affiche -2°C ! Nous nous mettons en marche et l’allure est assez vive, surement l’envie de se réchauffer !!

    Nous traversons le Biançon, petite rivière mais principale alimentation du Lac. Après avoir passé le gué, sans se mouiller, nous poursuivons sur la piste qui est également le GR49.

    Première patte d’oie, nous prenons à droite la piste du Friaoud. Une bonne grimpette qui finira de nous mettre à température. Le groupe marche à bon rythme malgré un pourcentage de pente assez élevé.

    Au sommet du Mont Brie, nous ferons une petite pause pour boire un petit coup et nous restaurer. Petite séquence d’altimétrie et nous poursuivons notre marche. Nous venons de passer la principale difficulté de la journée.

    Nous enchainons petits mamelons, cols et vallées en traversant une belle forêt de chênes lièges, plantations d’eucalyptus.

    J’ai oublié de préciser que la température est maintenant plus qu’agréable. Les bras sont à l’air et pour certain les mollets !!

    Nous ferons notre pause pique-nique en surplombant la vallée du Gros ubac d’un coté et le vallon du Gabre de l’autre.

    Nous sommes comme des lézards à profiter des rayons de soleil. Tout le monde est ravi d’être là. Le parcours est agréable et ne présente pas de difficulté.

    Allez on se remet en marche. Un peu plus loin on mettra le cap au Nord Nord Est pour rejoindre le hameau de « Les Villards des Granges ». Nous retrouvons le GR49 que nous allons suivre jusqu’au parking où nous avons nos voitures.

    A la sortie du Hameau, nous prenons la piste à droite, toujours sur le GR49.

    Encore une petite descente et nous retrouvons les berges du Lac et un peu plus loin nos véhicules.

    Il est 14h05. Bravo, vous avez avalé les 14 kms du parcours sans problème !!

    Exceptionnellement, nous ne ferons pas de pause mousse.

    Merci à tous et à très bientôt sur les sentiers.

    Georges

     

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  • Les bois de la Marbrière et le Plateau St Christophe

    Sortie randonnée du 05 décembre 2014, au programme : « Le bois de la Marbrière et le Plateau St Christophe »

    Aujourd’hui la météo est moyenne « plus » ! Je traduis il ne pleut pas mais il y a de fortes chance de sortir les capes de pluie !!

    Ils sont vraiment courageux car au point de départ de la randonnée nous retrouvons : Jacques, Maryvonne, Jean-Jacques, Guilaine, Dominique, Serge qui fait sa première sortie avec le groupe, Bernadette, Nicole, Isabelle, Marc, Christiane, Bruno et moi et oui vous avez bien compté nous sommes treize au départ de cette randonnée.

    Nous sommes à l’altitude 500 et nous mettons le cap au 50° en suivant le GR51. Un parcours que nous connaissons bien puisque nous avons fait quelques séances de Marche Nordique sur cette piste. Le groupe est vraiment impatient de se mettre en marche, surement le manque car nous venons d’annuler deux sorties pour raison météorologique.

    A peine partis, il nous faut sortir les capes de pluie !! Une petite pluie mais cela ne nous arrêtera pas. Nous passons le Vallon du Rioucougourde , le Vallon des Boullides, puis le Vallon de st Christophe avant d’arriver au « Pilon » (non celui de St Vallier). Là nous ferons une petite pause boisson et petites barres.

    La pluie a cessé, on s’aventure à retirer nos vêtements de pluie car maintenant il nous faut monter. En effet ce sont 330m de dénivelé positif qui nous attendent pour rejoindre le Col de la Pelade. Le sentier est en fait une très belle voie romaine, ni plus ni moins que celle que l’on retrouve sur le plateau de Caussols.

    Cette randonnée est très belle et même si le ciel est très bas et que les nuages sont bien gris voir noir tout le monde apprécie les paysages et les superbes points de vues. Il est 12h15 lorsque nous atteignons le plateau St Christophe et par mesure de sécurité nous allons pique-niquer à proximité d’une bergerie. On ne sait jamais s’il se remettait à pleuvoir !!!

    Tout le monde est installé pour le pique-nique, nous aurons même un petit rayon de soleil. La température ne nous laisse pas trop le choix, il va falloir se remettre en route car tout le monde a un peu froid.

    Après avoir longé le Vallon de la Combe, nous arrivons à sur la route qui mène au château de la Malle, point coté 1034. Nous mettons le cap plein Sud. Un peu de route goudronnée avant de récupérer le GR4 au niveau de l’entrée du Domaine de St Christophe.

    Après 1.500 km, je décide de poursuivre sur une piste forestière plutôt que de suivre le GR4. En effet avec les grosses pluies de ces derniers jours je pense que le sentier doit être bien abîmé, alors par mesure de sécurité nous poursuivons notre descente sur cette belle piste que je découvre.

    Plus bas nous rejoindrons la route Napoléon puis nous retrouverons nos voitures un plus bas.

    L’ensemble du groupe est heureux d’avoir bravé les caprices du temps et surtout bien content d’être arrivé. En effet  ce n’est pas moins de 16 kms que nous venons de parcourir !! Bravo à tous.

    Nous ne manquerons pas de clôturer cette journée par une petite mousse dans un petit bistrot de St Vallier.

    Je vous dis à très bientôt sur les sentiers.

    Georges

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