Articles de lesjoyeuxrandonneursvallerois

  • Le plateau de Montséguise

    Pour lire les commentaires de la randonnée du 02 novembre 2018 "Le plateau de Montséguise", patientez quelques secondes !! Merci!

    Lire la suite

  • Le sommet de la Gourre

    Le Sommet de la Gourre (Soleilhas) 09/2018

     

    5 randonneurs, joyeux et en forme, au départ de Soleilhas ce matin 9h00; le soleil déjà chaud est bien présent et va nous accompagner toute la journée.

    La montée jusqu’au Col St Barnabé se fait en 45mn;  nous croisons des ouvriers qui changent les poteaux EDF et déplacent la ligne H.T.depuis le village tout le long de la variante Gr4.

    Petite halte au Col pour prendre le chemin de la chapelle St Barnabé (1382m), large et à plat cette fois.

     

    Le rythme est toujours bon et nous atteignons à midi le sommet de la Gourre.

    Longue pause repas qui nous permet d’apprécier pleinement le panorama et ...le brownies de Colette !

    13h30, nous redescendons par le même chemin.

     

    Rafraîchissement à St Auban pour clore cette belle journée!

    Merci à Bernadette, Colette, Danièle et Georges.

     

    Christine

  • Deux jours en Haute-Tinée

    Pour lire le commentaire de la sortie du 21 et 22 août 2018 "Deux jours en Haute-Tinée", patientez quelques secondes !!!

    Lire la suite

  • Le Pic de l'Aiglo et de Fourneuby.

    Pour lire le commentaire de la randonnée du 06 juillet 2018 "Le Pic de l'Aiglo et de Fourneuby" patientez quelques secondes !!

    Lire la suite

  • 6éme Edition des 10 Kms de Marche Nordique

    Pour lire le commentaire de la 6éme Edition des 10 Kms de Marche Nordiquede Saint Vallier de Thiey veuillez patienter quelques secondes !!!

    Lire la suite

  • Le tour du Razet via le Gramondo

    Pour lire le commentaire de la randonnée "Le tour du Razet via le Gramondo" patientez quelques secondes !!!!

    Lire la suite

  • Le Mont Vial

    Pour lire le commentaire de la sortie randonnée "Le Mont Vial" patienter quelques seondes !!!

    Lire la suite

  • Le tour de la Barre de Roussivau

    18 au rendez-vous ce vendredi 6 avril pour une balade dans le Perthus oriental et le Roussivau ;

    la journée s’annonçait belle et ensoleillée malgré quelques entrées maritimes.

    Départ pour le col de Belle Barbe par Agay. Les voitures garées au dessus du parking du col, on entame la balade par la route forestière qui rejoint le col du Mistral (93 m) carrefour triangulaire marqué par un rond-point aménagé et une ancienne borne de l’administration forestière.

    Nous descendons par un petit raccourci bordé d’asphodèles de Villars ( fleur de la famille des lys) qui démarrent leur floraison, pour rejoindre la route forestière direction nord jusqu’au pont du Perthus.
    Le pont enjambe le ruisseau au dessus d’un magnifique chaos de gros blocs de rocher.
    ON traverse le pont, pour suivre le Perthus sur la droite et retrouver un petit sentier qui grimpe sur la gauche, au dessus de la route forestière.

    LE sentier monte progressivement vers le nord, face à un décor splendide de fines aiguilles rocheuses. On passe un pierrier (courant en ce lieu) suivi d’un magnifique bois de yeuses très compact.
    C’est maintenant une série de lacets de plus en plus serrés entre des escarpements rocheux qui amènent à une brèche. Au nord ouest, par un sentier dégagé qui monte régulièrement on arrive à une bifurcation (alt 257 m) On continue sur la gauche, et un lacet ramène au sud sur un plateau dénudé où l’on vient buter contre un large chemin.

    On l’emprunte sur la gauche, direction sud est puis sud avant d’arriver au sommet du Perthus (274 m) Là magnifique point de vue sur l’ensemble de l’Esterel, malgré la brume un peu dense qui entoure les sommes de l’Esterel (pic de l’Ours, les Grues) le bassin du Reyran et de l’Argens, les maures, le haut-var.. retour par le même chemin.

    Bientôt 12 h12 ! l’heure fatidique ; les estomacs crient famine. Le vent est assez violent, mais on réussit à trouver un petit abri sur des rochers, et la pause réparatrice commence par un petit apéro.

    On redémarre, cheminant sur le bon chemin qui arpente le plateau de Roussivau pour atteindre la baisse de l’Andoulette (254 m).
    On abandonne le large chemin pour prendre à gauche un petit chemin qui descend vers l’ouest puis sud est ; après une boucle vers le sud ouest et le sud on domine le vallon de l’Apie de Sigallon en rive gauche à gauche.
    Puis on chemin sous la barre de Roussivau avant de surplomber la maison forestière de Roussivau. On poursuit vers l’est puis NE par un petit chemin à travers les myrtes, cistes, épines vinette, pour rejoindre la dépression de l’Amandier (radier cimenté) Par un petit sentier qui grimpe sur la gauche on rejoint un autre sentier transversal ; on l’emprunte à droite et quelques lacets nous ramènent à l’itinéraire emprunté au départ, où nous retrouvons la route forestière du Perthus.

    Retour aux voitures, et RV au bord de mer aux alentours d’Agay pour une petite mousse bien méritée, et quelques cafés liégeois pour deux dames qui aiment les douceurs !!

    Belle et bonne journ ée avec une fine équipe : Gigi, Georges, M jo, Charles et Genevière, Christine et Marco, Sandrine, A.Marie MChristine et Pierre Colette Bruno Bernadette Danièle Nicole Roseline et votre serviteur ! Dominique

  • Le chemin des moines

    Nous sommes partis 9 Joyeux randonneurs du parking de l'Office de Tourisme du village du Thoronet à 9h30 sous un ciel clément et une température de 8°. 

    Après une succession de montées et descentes sur pistes parfois caillouteuses mais bordées de belles restanques, de vignes, d'oliviers, de cistes et de chênes, nous sommes arrivés  à 11h50 devant les grilles de l'abbaye pour les voir se refermer !

    Pas plus de chance avec la boutique, dont le gabarit de nos sacs à dos dépassaient la taille règlementaire pour une éventuelle visite (pour cause de plan Vigipirate!).

    L'appel de 12h12 sonnant déjà fort, nous nous sommes installés autour d'une belle table en bois de l'aire de pique nique.

    Le retour s'est fait un peu sur route en suivant le GR et les coquilles du chemin de Compostelle;

    bon rythme et bonne humeur nous ont accompagnés jusqu'au bout!

    Merci à Dominique, Marie-Christine,Daniel et Marie, Guilaine et Jean-Jacques, Colette et Bruno.

    Christine.

  • Sortie humide dans l'Esterel

    En ce dimanche 18 mars, bien qu’espérant que les prévisions météo  soient fausses, j’ai dû abandonner la jolie rando au Perthus, opter pour une destination moins loin et surtout nous permettant d’emprunter des pistes avec peu de dénivelé, suite aux pluies des jours précédents, et la pluie présente encore ce dimanche matin.

    3 forcenés étaient bien partants : Nicole, voulant s’entrainer pour le Népal, Bruno toujours partant, et Suzanne, qui ayant vécu en Angleterre, en avait vu d’autre !

    Destination Notre Dame d’Afrique : on se gare au parking du Théoule supérieur, au dessus du cimetière.
    On aperçoit rapidement la grande dame de fer surplombant la mer teintée de gris ; malgré le temps maussade, les couleurs restent belles. Haute de 12 mètres et pesant plus de 30 tonnes, elle s’élève entre le Rocher des Monges et la mer ;
    Le début de sa réalisation date de 1992, commandée par l’association Ntre Dame Afrique ; le sculpteur, Fortuné EVANGELISTI, est un italien grand et blond, comme peu d’italiens de Naple., pour vivre, il est ferronnier artisan.
    Huit ans lui seront nécessaires pour élever les 30 tonnes de métal, sur 12 mètres de haut.
    A ses pieds, les plaques commémoratives des disparus lors de la guerre d’Algérie .

    Depuis 5 ans, une coquille Saint jacques a été scellée sur un rocher, à proximité de la statue. C’est le signe que désormais cest par ces lieux que passe le chemin de Compostelle, celui que doivent emprunter les croyants (ou non) venus de l’Est et d’Italie pour effectuer leur pèlerinage vers l’Espagne.

    On va emprunter en partie cette voie,. Le parcours varois long de 138 kms suit l’axe de l’ancienne voie romaine, la via Aurelia, qui traverse les grands massifs varois, : Esterel, Maure et la Sainte Baume. 

    Nous partons direction col de Théoule, col du Trayas, col de la Cadière. On dépasse sur notre gauche l’embranchement qui mène aux grues ; ça ne sera pas au programme ! puis de la Cadière, on emprunte la piste forestière direction col de Notre Dame, entourés de grands eucalyptus, qui embaument sous la pluie.
    Ils avaient été plantés il y a de nombreuses années comme pare feu ! mais on s’est rendu compte ensuite qu’ils brulaient tout aussi bien que les pins !

    Arrivée au col de Notre Dame un peu après midi douze ! une table et des bancs nous attendent ; bizarre, ils ne sont pas occupés ! Nicole déplie sa couverture de survie en guise de nappe, et sous la pluie persistante, on se boit un petit punch, bienvenu : ça réchauffe.

    Il est décidé d’un commun accord de ne pas faire de sieste aujourd’hui, et le déjeuner vite expédié on repart, via retour par la voie de Compostelle direction les cols de l’aller : Trayas et Théoule.

    Arrivés au col du Trayas, on prend la direction du rocher des Monges, pour éviter le sentier que l’on a emprunté en montant, mais qui s’avère périlleux à la descente.

    Col de théoule, et retour aux voitures : résultat des courses : 15 kms 450 m de dénivelé, le tout sous la flotte qui n’a pas cessé ! un petit arrêt rituel pour la mousse et boissons chaudes ;

    Les participants étaient ravis malgré le temps d’avoir pû « s’aérer » !! Merci à vous trois pour cette bonne journée. Dominique

  • Le Val de Siagne

    Le vend 16 fev 2018, 7 joyeux et inscrits randonneurs sont partis de St Vallier avec le brouillard mais au Tignet il faisait seulement gris et doux (8°).

    Nous descendons la piste de la Grosse Colle en faisant attention aux cailloux surtout Dominique avec un poignet dans le plâtre.

    La progression sur les bords de la Siagne est plutôt facile et agréable ;  l’eau est très claire, nous cherchons en vain…les truites !

    La passerelle de Lignière nous amène de l’autre côté où nous grimpons à la Tour de Guet de la Chapelle de St Cassien des Bois.

    Avant le repas, nous prenons le temps de déchiffrer les dates et les noms sur les pierres du (très) vieux cimetière qui fait face à la chapelle.

    Après avoir partagé punch, sablés et muffins, nous reprenons notre chemin pour une montée (régulière) dans les arbousiers et châtaigniers et finir cette sympathique randonnée par le plat…du canal !

    Merci à Colette, Dominique, Geneviève et Charles, Dominique et Serge.

    Christine

  • Le Cap d'Antibes

    Balade du 8/12 /17 : Le Cap d'Antibes.

    Après avoir scruté inlassablement mon bien aimé ordinateur ! sur les prévisons météo, la décision est prise : on va braver les embruns, et faire une petite balade au cap d’Antibes. Quatre JRV, braves et impétueux, sont de la partie : Colette, Bruno, Isabelle et Françoise.

    Bien emmitouflés nous voilà partis. Depart plage de la GAROUPE ; on longe pendant quelques centaines de mètres les restaurants,fermés à cette époque, pour emprunter le chemin des douaniers, dit de tire-poil ! CE chemin longe la Méditerranée, tout en contournant les parcs, jardins et villas de milliardaires .Les murs sont bardés de caméras ! Pendant environ 2,7 kms on chemine près des flots agités, au travers des roches escarpées. Les vagues frappent les rochers, et notre Bruno, toujours à l’avant, en fait les frais ! il nous revient un peu humide. Après avoir passé un porche, traversant une muraille, on continue jusqu’à l’anse de l’Argent Faux dénommé par les gens du coin la baie des Milliardaires.Superbe vue sur la Pointe de l’Ilette et l’Esterel.

    Au Ve siècle av.JC le cap était couvert de pins maritimes et des habitations primaires courraient le long du rivage. C’ était  un port d’étape prospère, et les épaves retrouvées dans les eaux en témoignent. C’est à partir du XIXe que la riche société  du nord de l’Europe découvre la beauté des lieux et bâtit de luxueuses demeure, comme l’emblématique villa Eilen Roc. C’est aussi à cette période que s’édifie au sommet de la presqu’ile le phare qui fut détruit par les allemands en 1944 et reconstruit en 1948.

    Aller retour donc par le même chemin pour profiter des beautés que nous offre la mer aujourd’hui. Apéro, repas pris bien calés sur les rochers ; gâteau une fois de plus excellent offert pas Colette. Retour aux voitures, et direction  plateau de la Garoupe, sa table d’orientation, et le sanctuaire : à l’intérieur, deux chapelles contiguës, communiquant par deux larges arcades, formant deux nefs. La nef de notre Dame de la Garde décorée d’une fresque de J.Clergues, avec une intéressante collection d’ex-voto ; dans la seconde nef, on peut admirer une soixantaire d’ex-voto navals et une statue en bois doré de Notre Dame du Bon Port, patronne des marins. Dernière petite visite à la petite chapelle derrière le phare (chapelle du Calvaire) où une petite collection de jolies crèches nous attend.

    On décide de rentrer avant les bouchons ; belle journée bien sympathique qui nous a comblé les mirettes ! merci à la joyeuse équipe !

    Dominique

  • Le chemin du Paradis

    CR rando du 1er/12/17 : Gourdon par le chemin du Paradis, retour par les bois de gourdon ;

    Nos joyeux randonneurs, ce matin là, bien emmitouflés, partent pour gagner le paradis ! Direction le village de Bar sur Loup parking du cimetière où nous attendent Bernadette et Danièle revenue de son périple indien.

    On suit la petite route jusqu’à la chapelle St Claude (320 m) et d’emblée le chemin grimpe brutalement sur la gauche, heureusement la forte montée est courte, et on continue de manière nettement moins soutenue à travers les bois de feuillus. 

    Après avoir franchi la petite passerelle au dessous du riou de Gourdon (à sec) on arrive au départ du chemin du Paradis, sur notre gauche ; allez, courage : la grimpette est soutenue, en lacets, jusqu ’au village de Gourdon qui nous nargue au dessus !
    Plusieurs pauses qui nous permettent d’admirer le paysage magnifique, auréolé d’un beau soleil ! pourvu que ça dure.
    Cet ancien chemin muletier desservait jadis Gourdon depuis la vallée du Loup. Plusieurs hypothèses sur l’origine de cette appellation, mais je pense que la plus plausible reste celle que lorsqu’on arrive enfin en haut, on a vraiment gagné le paradis !

    On croise avant le village l’impressionnant rocher nommé « os de l’oreille » ! Quelques marches ! ouf, on arrive à Gourdon, archétype du village perché en nid d’aigle, à l’extremité un éperon rocheux, et doté d’une vue panoramique sur plus de 80 kms de cote entre Théoule et Nice.

    On prend le temps d’admirer l’ensemble harmonieux des maisons médiévales en pierres blanches qui se pressent autour du château féodal ; on est les seuls touristes . Le village est un peu endormi, peu de boutiques ouvertes.

    On redescend pour emprunter quelques mètres la route menant à Caussols,  et prendre à gauche la piste des bois de Gourdon, qui va nous permettre de redescendre tranquillement à notre point de départ. Pause déjeuner à 12H00 pile ! On profite du soleil.
    Colette nous fait déguster une nouvelle recette de gateau, magnifique !

    Mais le temps se rafraichit, de gros nuages cotonneux apparaissent derrière le pic de Courmettes. Est-ce la neige annoncée de soir ? On repart donc à travers bois, coupant la large piste par un petit sentier. On chemine prudemment, un épais tapis de feuilles masquant les pierres, et qui s’avère glissant. Quelques dérapages controlés, et on rejoint chapelle de départ.

    On a bien mérité la petite mousse qui sera prise au Pré du Lac ; beau soleil et belle journée, avant la neige annoncée pour ce soir.

    Merci à vous Bernadette, Danièle, Charles, Nicole, Bruno et Colette.

    Dominique.

  • Le sommet des Grues

    CR RANDO 24/11 : Lessommets des Grues.

    En ce vendredi 24/12 les joyeux randonneurs partent à l’assaut des Grandes et petites grues de l’ESTEREL.

    Le beau temps de la veille a laissé la place à un peu de grisaille, mais pas de pluie en prévision ; nous voilà donc partis direction Théoule, parking du vallon de l’Autel, point de départ.

    Esterel : ce massif montagneux volcanique tire son nom du pré latin ester (rocher escarpé, gorge) et latin sterilis (pauvreté des sols) ; les roches porphyriques volcaniques notamment du ryolite donnent sa belle couleur ocre.

    On s’engage sur le sentier (GR51) qui longe la voie ferrée au départ, versant ubac ; l’endroit est humide et sombre ; on aperçoit le rocher des Monges sur l’autre versant.

    On atteint le col de Théoule, et la lumière : pause grignotage et autres, et c’est reparti direction Est, col du Trayas (248 m). On grimpe jusqu’à la large piste qui nous conduit au col de la Cadière (241 m) d’où démarre l’ascension aux grues.
    Petite pause pour se motiver et à l’assaut ! pourquoi cette appellation ! ma foi, pas trouvé d’explication!
    L’ascension est soutenue jusqu’au sommet des grandes Grues (440m). Au sommet belle vue sur le littoral cannois, le Mercantour est emmitouflé par un manteau de brume, et malgré l’absence de soleil, la luminosité argentée sur la mer est magnifique.

    Le temps d’admirer, de souffler, et on amorce la descente, (sud) par une sente rapide et périlleuse ; c’est la portion la plus délicate du parcours. Mais nos joyeux Randonneurs, aidés pour quelques uns par de solides bâtons ! s’en tirent heureusement sans chute.
    Et comme les grimpettes nous manquaient, nous repartons à l’escalade des Petites Grues ! (413 m) . La restauration est prévue au sommet ; nous y voilà .

    Aujourd’hui, apéro au Jurançon, foie gras, et les desserts de Colette : fondants chocolat /framboise et chocolat..betterave : surprenant mais sublime ! merci à notre cordon bleu patissier !

    Requinqués, on repart : descente assez raide sur le col de notre Dame, face au Pic de l’Ours ; puis du col, on suit la large piste qui nous ramène au col du Trayas, et l’itinéraire aller.

    La petite mousse sera prise à Théoule, dans un bistrot sympathique tenu par d’anciens musiciens.

    Merci à tous : Bruno Colette Charles Bernadette Dominique Michel et Nicole

    Dominique

  • Plateau de Cavillore via l'Embarnier

    Vendredi 13 : jour de chance ou pas ?

    Les superstitions diffèrent sur ce jour là, Il a même sa phobie qui se nomme, vous êtes assis ?

    La paraskevidekanophobie !!!

    Bon, ca nous fait une belle jambe, et ça tombe bien les deux étaient bien nécessaires à nos joyeux randonneurs qui partent dans la bonne humeur  et plein d’entrain via Gourdon, pour gravir le Cavillore par l’Embarnier.

    La brume et la fraicheur matinales cèdent la place à un soleil d’été et nous voilà fin prets à démarrer.

    La piste démarre à quelques centaines de mètres, à gauche de la route de Caussols ; Première petite photo de groupe : vite, je sors ma boussole !

    Et c’est reparti : Bruno prend déjà son envol !

    La grimpette démarre doucement à travers nos belles Préalpes dont la beauté demande certaines haltes pour admirer ce magnifique environnement.

    Bientôt, on distingue Gourdon accroché au sommet de falaises vertigineuses balcon ouvert sur les gorges du Loup et la Méditerrannée.

    Quel beau département, avec sa diversité de paysages offrant des vues somptueuses.

    On atteint le lieu dit l’Embarnier, croisant la grosse ferme, et l’étrange rocher qui émerge habituellement dans un écrin de verdure ! En d’autres saisons !

    Et la montée se fait plus dure pour atteindre le point d’envol des parapentistes.

    Ensuite, direction PLAN de GAST, par la voie romaine, belle piste et descente à travers bois,pour rejoindre la route de Caussols, direction Gourdon.

    CA commence cool ! mais bientôt il est promis une belle ascension : (40 % sur 150 m !) mais c’est d’une allure guillerette que notre troupe sympathique attaque la grimpette.

    Enfin, pause méritée à l’abri du vent dans les rochers.

    Il est temps de se requinquer !

    Apero, petit repas, arrosé d’un petit verre de vin en prime, merci Marc, et pour terminer, le fin du fin, une gourmandise faite par Colette, sublime ! (la gourmandise était bien sûr un gateau )

    Certains tentent une sieste sous un arbre maigrichon d’autres échangent avec Marco des recette de marmitton !

    Ya pas à dire, la vie est belle !

    Mais certains veillent au grain, et notre belle Isabelle nous interpelle! Debout ! le brouillard menace.

    On longe la crête à travers la caillasse pour rejoindre plus bas le GR qui part à droite en direction de Cavillore ;

    Traversée à travers les bois, avant d’atteindre l’univers minéral, qui confère à ce plateau un aspect peu banal ; Tantôt lugubre, tantôt superbe, mais la brume s’installe

    Il faut descendre sans trop tarder, c’est reparti !

    L’appel de la petite mousse redonne à certains une belle énergie,

    GOURDON ! on est arrivés ! un engin moderne nous calcule 17 kms (en 5 heures) !

    Et ils sont frais comme des gardons  c’est donc sans vergogne, et avec une franche admiration, que l’on peut dire : bravo les joyeux randonneurs !

    Dominique.

  • De Valferrière à La Berque et retour par le pas de la Clue et GR 510 vraie route Napoléon.

    De Valferrière à La Berque et retour par le pas de la Clue et GR 510 vraie route Napoléon.

    Départ donc du col de Valferrière début de la route de Mons où l’on a garé les voitures.

    Etait présents : Dominique et Serge; Danielle; Bernadette; Nicole;

    Le chemin boisé et facile plus très bien balisé en jaune monte franchement un premier dénivelé de 140 mètres récompensé par des paysages superbes avec vues sur le Bauroux, l’adrech de Besson puis le pas de la Clue.

    Au plus haut à 1310 mètres d’altitude des parterres de fleurs violettes et des sous-bois ombragés.

    Le sentier peu fréquenté mais assez large redescend ensuite lentement vers le nord-est. Il semble avoir été très emprunté au temps passé.

    Assez mal entretenu et parfois traversé d’arbres morts abattus par les frimas et qu’il faut contourner, il reste aisé et est bordé de beaux cèdres  alignés.

    Le paysage en dessous est magnifique surtout en cette saison.
    On descend ainsi de 180 mètres pour arriver sur la piste DFCI de la Sapée que l’on emprunte à gauche.

    En montant après 200 mètres dans un virage à gauche, nous quittons cette piste à droite pour suivre un tout petit chemin qui nous amène à la « grotte » de Rouaine qui est à l’inventaire spéléologique des Alpes Maritimes. Elle ne peut être visitée qu’avec du matériel spécifique corde et descendeur spéléo. Elle est même un peu dangereuse car non protégée.

    Nous regagnons la piste Défense Contre l’Incendie bien large que l’on va parcourir en montée jusqu’au col de la Sappée à 1260 mètres d’altitude où la vue s’étend jusqu’à la plaine de Caille.

    Jusque-là, la randonnée se déroule en ubac bien ombragé, la chaleur est très supportable bien que le petit groupe commence à se diriger spontanément vers les zones d’ombre.  

    Pui nous continuons à  monter doucement sur la piste DFCI qui se transforme en sentier bien balisé qui maintenant descend lentement direction le Lachens.

    Un ou deux petits passages en descente où il faut bien regarder où l’on met les pieds jusqu’à deux balises n°202 à 1320 mètres d’altitude.

    A partir de là il reste 50 mètres de dénivelé et 300 mètres à parcourir vers le sud jusqu’au col.

    Deux options une directe pour les « sportifs » une plus tranquille avec 50 mètres à l’ouest puis remontée à gauche.

    Et ce sont trois filles : Dominique, Bernadette et Danielle qui montent directement une sacrée pente !

    Nous les rejoignons pour atteindre très vite le col de la Berque à 1371 mètres et où se situe la salle à manger et les deux arbres marqués de deux points oranges  (cf. les photos).

    Il est midi douze exactement ! Une sacrée organisation !

    Après le repas et la sieste, redescente tranquille mais attentive car pentue au début, souvent à l’ombre et qui s’adoucit ensuite jusqu’au Rieu Tort, petit ruisseau frais.            

    Demi-tour sur 20 mètres car on ne le traverse pas mais on part vers l’est sur trois kilomètres de sentier assez peu pentu avec de longs passages herbeux sous les arbres jusqu’à s’approcher de la RN 85 maintenant RD 6085, bruyante route Napoléon.

    Au pas de la Clue, on a traversé TRES prudemment cette route dangereuse et emprunté de l’autre côté le GR 510 et là coup de chaud et pas d’ombre avant 600 mètres.

    A gauche une citerne DFCI enterrée où un abreuvoir alimenté par une petite source fraiche mais d’une potabilité douteuse nous a bien rafraichi le visage. Ensuite montée sur le GR vraie route Napoléon sous la chaleur, sur des cailloux blancs,  peu de dénivelé mais pas beaucoup d’ombre jusqu’au col au lieu-dit Frontignac où le sentier à droite difficile à trouver et très peu fréquenté nous a ramené sur la grand route où étaient garées les voitures.

    Pui arrêt « mousse » à la Colette.

    Fin de cette randonnée de 14 km 500.

    Commentaires : très beaux paysages, très belle randonnée à éviter par forte chaleur et grand froid.

    A faire au printemps ou à l’automne où elle est surement encore plus belle.

    Rodolphe

  • Le PAs du Préfouns via le Lac Nègre

    Les Joyeux Randonneurs Vallérois                              Vendredi  9   Juin   2017

     

     

      Le Lac Nègre et le Pas du Préfouns

     

    Et nous voilà partis ... 9 Joyeux Randonneurs  Vallérois dans un endroit mythique à faire au moins une fois dans sa vie :

                               Le Lac Nègre avec montée au Pas de Préfouns

     

    Probablement l'un des plus beaux lacs du Mercantour le Lac Nègre (2354m) offre un cadre merveilleux, une eau cristalline dans laquelle se reflètent des sommets proche du 3000m d'altitude.

    Frontière entre la France et l'Italie depuis 1947 le Pas du Préfouns  (2615m)  était le poste de chasse préféré du roi d'Italie Victor-Emmanuel II.

     

    Certes il a fallu  se lever tôt ( rendez-vous 7h)  rouler un peu plus que d'habitude pour atteindre notre départ de la randonnée, mais tous nous avons volontiers accompli cela et nous avons été largement récompensés par une journée inoubliable.

     

    Départ:  le parking de Salèse (1665m), il est 9h10mn .

    La montée tranquille jusqu'au Col de Salèse (2031m) se fait par un très beau sentier (Gr52) dans les bois, nous étions entourés de fleurs aux multiples couleurs qui ont commencé  à éblouir nos yeux.

    A noter que parallèlement à notre sentier se trouve une route qui mène au village de Mollières , route interdite à la circulation sauf aux véhicules autorisés.

    A mi-chemin de cette route coule d'une fontaine magique  "la source de Chardole"  une eau exceptionnellement pure à tel point qu'elle est réputée pour peser moins lourd que l'eau normale ( pour explication voir le merveilleux texte de Maurice Ricci  à la fin de ce compte-rendu ).

    Il est 10h13 et nous voici au Col de Salèse, nous quittons le Gr et prenons à droite le sentier du lac Nègre.

    Ce sentier est un peu plus raide mais très bien aménagé, avec beaucoup de marches fabriquées par l'homme. Il faut dire que certains étés il y a eu au bord du Lac Nègre des grands concert avec beaucoup de musiciens et d'instruments. La sonorité du lieu s'y prête énormément. Il paraîtrait même que le piano était amené  par hélicoptère.

     

    La montée se fait bien, le temps est parfait, il ne fait ni trop chaud, ni trop froid

    endroit idéal pour randonner en cette saison. ( Lac Nègre 1h,  Pas du Préfouns 2h).

     

    Et voici la récompense : Le Lac est devant nous.

     

    Merveilles ... bouches ouvertes... yeux écarquillés...  rien à dire, que à contempler.

    En faisant le tour du Lac quelques restes de névés nous accompagnent, joie de marcher un peu dans la neige alors qu'il fait déjà si chaud chez nous.

    Nous approchons de Midi 12 ... et décidons de manger avant de monter au Pas de Préfouns.

    Le sol est parsemé de centaines de gentianes , rare de voir autant de bleu...

    Après manger, la montée au Pas de Préfouns ( sauf pour Bernadette et moi même qui avons préféré faire une petite sieste à guetter les marmottes ) .

    Les voici à 2615m  avec les choucas, la frontière et tous ces moments historiques qui nous reviennent en tête... des montagnes découpées et comme couvertes de draperies, la vallée qui redescend vers l'Italie... moments magiques...  

    Des paysages ... à voir absolument...

     

    Et puis voilà la redescente... plus de 1000m , attention aux chevilles et aux genoux...

    Mais nous sommes des petits cabris et nous voilà passant le lac, le col de Salèse, la forêt où surprise un petit chamois nous salut de loin, il semble nous remercier de notre visite...

    Puis la route du hameau de  Mollières avec un arrêt à la source pour goûter à cette eau spéciale, nous en avons fait le plein ...

     

    Il est 17h à notre arrivée aux voitures, nous sommes tous tellement contents de cette journée que nous ne sentons pas un brin de fatigue.

     

    Notre petite mousse traditionnelle et retour à la casa la mémoire pleine de souvenirs.

     

    Bravo à tous,  promis on y retournera.

     

    Nicole

  • La boucle de Magagnosc

    Jolie boucle qui permet de découvrir les hauteurs de Magagnosc et qui se termine par le passage à la frontale de 3 tunnels.

    Durée 3h30,  dénivelé cumulé 300 m un distance de 10 kms!
    Après quelques marches, un premier bélvèdére nous permet de contempler toute la côte!! Dommage qu'une brume assez épaisse nous gâche le plaisir.  C'est par une belle piste que nous poursuivrons pour rejoindre l'oratoire dédié à St André. Petite pause café avant de descendre tout au fond du vallon de St Christophe par un sentier assez raide et impressionant!! Malheureusement il faudra remonter pour récupérer le Canal du Foulon et ce sera par quelques courts passages mais bien pentus (40%) que nous y parviendrons.

    La pause pique-nique se fera autour d'une table à l'ombre mais on aurait préféré un peu plus de soleil car le temps secouvre un peu et la température chute.

    Dernier petit effort et nous voilà  à hauteur du Canal. Les successions de vues sont magnifiques et nul doute qu'avec une belle journée ensoleillée ce serait encore plus beau. Avant de retrouver notre parking il nous faut franchir 3 tunnels!! Les frontales sont de sorties !! Tout le monde passe sans problème même si l'éclairage est vraiment inexistent dans l'un d'eux!!

    Cool l'heure de départ !  Malgré un départ un peu raide  (escaliers) , et quelques petites portions de chemin pentues, bon rythme du groupe et joyeuse ambiance.

    Le soleil manquait un peu à partir de midi.

    Merci à Gigi et Georges, MarieJO, Marguerite, Christiane, Geneviève et Anne-Marie

    Votre animatrice

    Christine.